Les Bistrots Pas Parisiens vu par la presse – Vivre Paris

PLUS BESOIN D’ALLER A PARIS POUR TROUVER DE L’EXCEPTIONNEL

Un service aux petits oignons avec des serveurs hyper souriants De l’autre côté de Paris, même son de cloche « fier de ma banlieue » chez Norbert Tarayre, grande gueule très télévisuelle. Associé à Hakim Gaouaoui, Entrepreneur de l’année 2019 Gault & Millau, il a monté le groupe des « bistrots pas parisiens ». Les deux quadrillent l’ouest parisien avec leurs établissements : Saperlipopette (Puteaux), Macaille (Suresnes), Bistro de Paris (Colombes), Là-Haut (Suresnes), Sapristi (Rueil-Malmaison, en septembre) et même plus au nord avec Splash (Asnières, en septembre) et Ma Cocotte dans les Puces de Saint-Ouen. Leur revendication ? Une
cuisine de chef à partir de 29,90 euros. « Le service est comme notre cuisine, fait maison : mijoté, signé, à partager. Qu’il s’agisse des personnes ou des plats, tous vivent au rythme des saisons et de leurs convives. Une entrée, un plat, un dessert… et une carte qui change toutes les quatre semaines. On ne confond pas recettes et bénéfices ! » clament-ils. Car oui, il faut aussi le souligner : comme les murs sont moins chers, le prix de l’assiette en banlieue suit la même courbe descendante. Norbert conçoit la cuisine dans sa forme la plus brute : pas de fioritures, des plats traditionnels, pas revisités. « La véritable cuisine, c’est très simple : savoir
acheter de bons produits, savoir les cuisiner, savoir recevoir les autres et les mettre à
l’aise. » L’autre clé du succès de ces établissements ? Un service aux petits oignons,
avec des serveurs hyper souriants, bien loin de la prétention de certains dans les
brasseries parisiennes. Une bonne cuisine servie par des gens sympas ?
Attention, ça risque de donner envie à des
hordes de Parisiens de passer le périph !

 

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